Ce monde d’ailleurs qui me frappe en pleine face
Ces gens outrageants qui raillent en pleine face
Leurs regards me glacent
Du miroir du Moyen-Age
Des rivières qui coulent sur mon visage
Le cœur en tambour
Je regarde à la louche
Des prières qui roulent sur mon passage
Le cœur en Temps bourre
Je canarde à la touche
« L’étrange » qu’on désigne à peine
Comme un clown perdu
Dans sa solide solitude
Incertitude du moment
Paraissent ceux qui sont seuls
Paraît celui qui croit
Paresseux: lui qui croit
Point de paresse
Juste une détresse
Point de paresse
Juste une caresse
Des sens
Sans mensonge
Une justesse
Qui dérange
Emorizo
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