Automne résonne la saison des morts
On tonne à ta porte sans raison
Corbeau sur le toit des océans
Tempête en nos âmes
Corps d’hier des langues amantes
Se lamentent lentement
Sans mensonge
Une éponge jetée à la mer
Pour aspirer l’inspirateur
De ces temps révolus
Résolus dans la prière
Serpillière au crépuscule
De cette morte saison
Emorizo
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