La France est devenu un pays où les débats démocratiques sont aux abonnés absents. En réalité, il est devenu criminel ou inconscient d’avoir une opinion divergente de celle de l’État. Comme si l’État détenait toutes les vérités et qu’il était hors de question de remettre en cause sa bonne prêche.
Est-ce criminel de se poser des questions légitimes?
Est-ce inconscient de douter de la bonne foi de l’État?
Est-ce normal de mettre en cage la liberté de penser en usant de la peur?
Beaucoup de questions sans réponse faute de débat constructif…
J’ai le sentiment que l’État perquisitionne les critiques en prêtant la foi à des bits de 0 et de 1 qui ordonnent le nouveau paradigme numérique de l’information.
Nous oublions de nous aimer sous le couvert du numérique en puissance. Comme si l’intuition humaine avait vendue sa peau à des statistiques, des mathématiques, des courbes sans âmes, des sciences numériques.
J’ai le sentiment que nous sommes pris pour des criminels ou des fous dangereux dans la société, n’ayant plus le droit à l’intégrité de notre corps. Notre corps ne nous appartiendrait plus mais appartiendrait à la collectivité. Bref, ne plus exister en tant qu’être humain avec une conscience qui lui est propre.
Mais, nous demeurons des êtres humains et non des machines.
Nous devons rester propriétaire de notre corps et de notre esprit critique.
Nous demeurons des êtres humains dotés de facultés qui dépassent l’intelligence artificielle. Cette intelligence artificielle qui veut se substituer à notre profondeur d’être.
Nous ne sommes pas des numéros de séries.
Nous ne sommes pas des numéros de pièces cachées derrière un code…
Nous ne sommes pas que des intelligences mais bien plus…
N’oublions pas l’Amour, la Bienveillance, la Joie, l’Équanimité et la Compassion et tant de qualités…
Emorizo
Se poser des questions comme un « enfant » qui cherche à comprendre le monde dans lequel il grandit…
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