Du haut du clocher, j’entends l’éternité de ta voix
Bordant les mots de ton héritage
J’écoute le silence de la nuit des âges
Rembobinage des instants avec toi
Papa
Du sommet de ma tête, je caresse les nuages de ton ciel
Semant les pensées de nos liens affectifs
Je serre ta main dans la mienne si tiède
Aide moi dans les souvenirs à être plus réceptif
A toi, Papa
J’y pense et puis j’oublie
A la fois présent et absent
Quand court la vide vie
Remplie de souvenirs
Qui s’effacent et repassent
Dans le film continu de mon exil
Les mots que je publie
Pour toi, Papa
Sont la raison de mes émotions
Merci Papa
Emorizo
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