Les grandes élites de ce Monde matérialiste, l’autre versant de la colline, commettent des actes incommensurables. Leurs crimes n’ont pas encore de nom et pourtant ils existent bien. Ce qui semble inhabituel comme comportement à tendance asocial, n’est pas encore nommable tant cela suggère une psychologie humaine jamais atteinte à ce niveau de paroxysme. Si ce n’est qu’aujourd’hui, le visage de ces élites s’affiche avec effroi et sans considération pour la Vie.

Des élites mondiaux et leur héritiers ont été biberonnés aux idéologies matérialistes et scientistes pendant plusieurs siècles donnant naissance au transhumanisme. Les nouvelles élites, héritières d’un délire psychiatrique, sont déconnectées du spirituel et du vivant. Elles sont dans les stratosphères de l’ignorance, tentant de mimer la Vie voire les mystères de l’Univers.

Il est temps de leur soumettre l’idée que la conscience n’est pas logée dans la matière: notre corps. La conscience ne se résume pas à un réseau neuronal. La conscience a une autre trajectoire que celle d’être reliée infiniment à un corps. La conscience n’a pas encore livré tous ses mystères mais n’en demeure pas moins que celle-ci est bien plus qu’une particule élémentaire.

Le corps est l’expérience de l’âme.

Le corps n’est pas un objet ou un jouet.

Le corps reste sacré.

L’humain doit respecter son corps et non le marchander ou le soumettre à des expériences innommables.

Les élites, comme ce fameux informaticien pseudo-scientifique ou cet extraordinaire sauveur de l’humanité, n’ont plus rien d’humain car ils n’ont jamais habité leur corps. D’ailleurs, je me demande si une âme les habite….?

Mais bonne nouvelle, les élites sont une espèce en voie de disparition… d’où la cacophonie et le cacochyme d’un Monde en fin de course. Bien qu’elles continuent à s’accrocher avec violence et acharnement à leur délire outre-psychiatrique, donnant lieu à des phénomènes étranges. Pour combien de temps est la question… Le chaos ou la crise systémique étant l’expression d’un changement de paradigme.

Emorizo