Dans la première partie, j’ai évoqué de manière très succincte le fait que beaucoup d’objets sont dépendants de l’électricité. L’idée était de mettre en avant le fait que les élites nous invitent au tout électrique (je pense en terme de transport notamment). Non seulement nos élites mais aussi les GAFAM et autres multinationales nous proposent toute une panoplie d’objets connectés (montre, lunette, électroménager, domotique etc).
Dans la première partie, je voulais mettre en exergue la quantité astronomique de matières premières déjà exploitées juste pour nos objets technologiques du quotidien. Objets quotidiens qui consomment aussi de l’électricité ou qui fonctionnent avec des piles ou batteries.
Ce qui m’intéresse dans cet exposé, ce sont les discours écolo des transports électriques. Les élites nous vantent l’écologie du 21ème siècle comme un progrès environnemental. Mais quel est la facture pour cette écologie polluante? Les batteries que nous utilisons pour les véhicules électriques demandent une quantité importante de matériaux rares extraits dans des gisements stratégiques . Et puis, le fait que déjà pour produire l’électricité dite verte, il nous faut dépenser une quantité astronomique de béton et d’aciers (entre autres) ne serait-ce que pour construire des parcs éoliens. Rien d’écolo donc si ce n’est pire.
En plus, les bornes électriques demandent toute une infrastructure pour acheminer l’électricité. Et, il faudrait prévoir une multitude d’éoliennes et autres panneaux solaires pour compenser la demande grandissante en électricité. Je vois déjà les paysages meurtris par des mastodontes en béton armé… La facture écologique va être chère pour les générations à venir avec ce genre de modèle polluant.
Déjà que pendant la période automne-hiver, chaque année les citoyens sont invités à économiser le moindre KWh (Kilowatt/heure) par crainte de coupure d’électricité. A côté, les élites prônent des véhicules électriques… Quelle absurdité!
Bref, c’est un sujet bien trop complexe pour rentrer dans les détails par rapport à d’autres sources d’énergies (gaz, bioéthanol, etc). Il s’agit juste d’une réflexion basique qui pose le problème des véhicules électriques. Il doit y avoir une pléthore d’arguments et contre-arguments. Je me contente d’exposer un point de vue parmi tant d’autres. Alors, j’aurais pu parler des datas center qui concentrent les données numériques et qui sont eux aussi énergivores. Et d’autres choses…
Bref, les énergies demandent un sacrifice écologique. Peut-on encore parler d’écologie dans ce cas?
Emorizo
Bonjour Emorizo
C’est sûr que vu comme ça, le tout électrique ne fait pas écologique du tout, du tout, du tout. En plus, il y aurait de fantastiques gisements de pétrole et de gaz (entre autres) sous les pôles, rendus inaccessibles à cause des glaces…
Par contre, il y a des quantités absolument inépuisables d’électricité dans l’atmosphère puisque la terre est aussi un gigantesque moteur électrique… Le transport d’électricité dans l’air, ça vous dit quelque chose ? (Nikola Tesla)
Bon week-end
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Bonjour Léo
Je ne connais pas l’étendue des travaux de Tesla si ce n’est un génie…
Par contre, j’ai lu un article sur un certain Viktor Schauberger où il est question d’électromagnétisme, de vortex etc. L’article évoque aussi le modèle d’un « univers électrique ». Tout cela pour dire que, comme d’autres inventeurs « maudits », Schauberger a aussi eu des idées novatrices qui n’ont pas du tout plu. Ainsi, ses travaux sont partis aux oubliettes et ont été décrédibilisés car ils défiaient des dogmes séculaires entre autres…
Ceci étant, en revenant à ma réflexion, il s’agit d’une observation peu étayée, je l’admets… Le peu, que je constate à ma petite échelle, me pose déjà question…
Bon week-end
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Vos arguments sont suffisamment solides, convaincants et bien présentés pour mettre à mal le soi-disant caractère écologique du modèle tout électrique électronique qu’on nous impose.
Les besoins croissants en énergie nécessiteraient un moyen révolutionnaire de fourniture en électricité.
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