Des millénaires s’écoulent.

Les méthodes barbares changent au fil des différentes époques de l’Histoire. Aujourd’hui, la définition de la barbarie donne l’apparence d’un changement radical avec le passé. Hier est toujours perçu comme étant des époques plus sauvages et sanglantes. Hier est perçu comme une erreur à ne plus commettre au nom de l’Humanité.

Mais qu’en ait-il vraiment?

La barbarie reste, avec des visages tronqués de la réalité. Aujourd’hui paraît une meilleure époque. Mais l’apparence est trompeuse.

La violence change de visage mais n’a pas pour autant perdu en virulence.

Aujourd’hui, la barbarie revête les habits argentés couleur sang-or. Une poignée de psychopathes qui joue aux apprentis sorciers et aux machiavéliques machinistes.

La psychopathie des puissants est un signe de démesure et de déchéance inhumaine. Il n’y a qu’à regarder dans le rétroviseur de l’Histoire. Celle-là même qui semble se répéter avec des acteurs différents mais issus du même asile psychiatrique : le moule des apparences et des pantins.

Les scenarii durant l’Histoire sont différents et aujourd’hui ils évoquent toujours plus la folie des barbares du 21ème siècle. Ces barbares sont les transhumanistes, aujourd’hui démasqués par leur arrogance et leur sentiment supérieur d’impunité.

Comme jadis Babylone en des temps reculés, à trop vouloir s’approcher du divin, la tour (du mensonge) s’effrite de plus en plus.

Comme jadis l’Empire romain en son temps, le transhumanisme est voué à s’effondrer sur lui-même.

L’Histoire est donneuse de leçons. Sachons l’écouter à travers les hommes et les femmes qui ont coulé leur encre, leur sueur et voire leur sang…

Il est un devoir que les gens se réapproprient les dessous de l’Histoire.

Emorizo